Les retrouvailles.
Se retrouver devant Gogol Bordello encore une fois, alors que Dimanche se meurt, alors que le festival touche à sa fin, c'est comme la cerise sur le gâteau.
Attendus, ils seront accueillis par un public venu partager la définition même de ce que veut dire "faire la fête". Un grand bordel désorganisé dans les couloirs du vent, glacial, qui n'en découragera pourtant pas un ce soir. Ils seront tous là, réunis, dansants, au pied de la scène et jusqu'à très loin dans la prairie de Landaoudec, aux sons mélangés du Brésil, des Balkans et de la scène underground new-yorkaise qui laisse sa trace, encore et toujours. Les festivals, en général, sont l'occasion de libérer toute cette énergie et toute cette folie, laissant à la musique le soin de prendre vie et d'emporter loin, très loin son public, au delà des frontières, au delà des limites sans crier gare. En bousculant tout sur son passage... Et il n'y a pas d'exception; rien qu'à voir la présence scénique de cette tribu itinérante, emmenée par Eugène Hutz, toujours prêt à lâcher son micro pour se jeter dans la foule, au plus près de son public, qu'il insulte sans que celui çi n'en tienne rigueur.
Ils sont là pour la musique.
Attendus, ils seront accueillis par un public venu partager la définition même de ce que veut dire "faire la fête". Un grand bordel désorganisé dans les couloirs du vent, glacial, qui n'en découragera pourtant pas un ce soir. Ils seront tous là, réunis, dansants, au pied de la scène et jusqu'à très loin dans la prairie de Landaoudec, aux sons mélangés du Brésil, des Balkans et de la scène underground new-yorkaise qui laisse sa trace, encore et toujours. Les festivals, en général, sont l'occasion de libérer toute cette énergie et toute cette folie, laissant à la musique le soin de prendre vie et d'emporter loin, très loin son public, au delà des frontières, au delà des limites sans crier gare. En bousculant tout sur son passage... Et il n'y a pas d'exception; rien qu'à voir la présence scénique de cette tribu itinérante, emmenée par Eugène Hutz, toujours prêt à lâcher son micro pour se jeter dans la foule, au plus près de son public, qu'il insulte sans que celui çi n'en tienne rigueur.
Ils sont là pour la musique.
Charles Bukowski
Autant eux, sur scène, qui s'évertuent à nous donner le meilleur de ce qu'ils ont, de ce qu'ils sont, que le public qui en réclame plus, toujours plus, et qui se donne corps et âme, et qui reprend par coeur les paroles de ces hymnes, décidément toujours plus actuels.
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